Ma petite peste de Normandie

Bonjour ,a vous amis et amie de la fessée.

Il y a 4 ans j ai fait la connaissance d une jeune fille  ,qui comme moi aiment les jeux de fessée (spanking,éducation anglaise ).

Malheureusement la distance fait que l'ont ne peut se voir aussi souvent que l'ont aimerait , mais 2/3 fois par année quand même.

Je me déplace en Normandie (et oui comme elle me la dit la première fois tu vas pas faire 900 km pour me fesser) pour se rencontrer ,partager ,rigoler et bien sur jouer a nos jeux que beaucoup ne comprenne pas qui sont  "la fessée entre adulte consentant ".

Par cette page et  ses commentaires ,ses "CR",ces photos de punition, je veux vous faire partager  une partie de nos moments intenses à chacune de nos rencontres .

Merci à toi la Crouille,ma petite peste

 

Je vous présente  la crouille après sa première fessée.

Et oui je suis sévère ,fessée a la main pour un préchauffage puis avec divers instruments .(a suivre dans ses récits)

 

Son premier récit de notre rencontre!!

La fessée vécue ou la parenthèse attendue

 

 

 

Ce qui m'a d'abord frappée chez lui, ce ne sont pas ses mains, c'est cette ressemblance avec lui-même. Sur le quai de la gare, même stature, mêmes expressions faciales, même style vestimentaire et surtout la moustache… Après une longue étreinte aussi naturelle que si l'on se connaissait depuis toujours, nous passons à l'hôtel déposer ses affaires puis nous allons nous restaurer. Le fauteuil roulant sur lequel je trône ne semble ni le dissuader, ni l'amadouer… Il me fait voir (ou croire, peu importe au final) qu'il s'en fout royalement et ça me touche infiniment. Ce n'est pas grand-chose, mais c'est énorme. Son fort accent me trouble (je mets un certain temps à m'y habituer mais il ne s'énerve pas quand je lui demande de répéter, il sourit), mais sa voix est douce, son attention et sa gentillesse inégalée, son sourire évocateur. Il est protecteur, veille à ce que mon fauteuil passe entre les poteaux, les voitures mal garées et les poubelles… Un MacDo vite avalé, nous nous dirigeons vers la maison. Arrivés à l'appartement, nous visitons les lieux et il m'autorise enfin à ouvrir son paquet, arrivé deux jours plus tôt par la poste, pour des raisons pratiques. Sous les paquets de bonbons et autres merveilles de sa région, je me retrouve nez-à-nez avec de curieux objets qui m'annoncent la couleur du séjour (rouge bien évidemment…) : paddle, cravache et… cane anglaise, la junior me souffle-t-il… Peut-être pas plus mal hein à la limite !!! Il le sait qu'elle m'intrigue. Elle ne me fait pas peur, mais elle m'intrigue. Il en joue, la manie adroitement, la fait siffler dans l'air. Cela me fait sursauter. Il laisse sur la table les bonbons et le fromage et ne garde en main que ce dont il a besoin maintenant. On entre dans ma chambre où sont disposés (sans grand secret révélé) une armoire, une commode, une chaise et un grand lit au milieu de la pièce. Il retire ses chaussures et me demande de faire de même. J'obéis (après tout, il a encore la cane dans la main !!!). Il s'assoie sur le lit et me dit les mots qu'il faut… Que cette fessée va faire très mal, que je l'ai amplement méritée, que je vais devoir me montrer courageuse et que la fessée est la seule méthode efficace pour punir une vilaine comme moi… Le stress commence à monter, j'ai raté mon coup avec le fauteuil… je la ramène moins. D'un coup, ma fierté tombe. Comme mon pantalon qu'il fait descendre jusqu'aux chevilles, puis qu'il retire entièrement. La petite culotte aussi. C'était pourtant l'une de mes favorites… Il m'allonge au travers de ses genoux. Je sens son jean sur mes cuisses. J'ai chaud et froid en même temps. La première claque est toujours magique. Elle donne le ton et le rythme de la musique. Tu sais au premier coup si tu vas regretter ces deux jours ou pas. Elle était tant attendue, tant espérée qu'il fallait qu'elle soit à la hauteur et elle le fut ô combien ! Ses petites sœurs aussi d'ailleurs… De plus en plus vives, ses claques accélèrent la cadence. Pour le moment, cela me fait un petit bien fou. Petite fessée appéritive, pour réveiller les sens, nourrir les fantasmes, espérer et imaginer la suite. Elle est déterminante. J'ai besoin de sentir les mains qui vont varier mes plaisirs avec les instruments. Une petite fessée néanmoins bien consistante pour une mise en bouche, mais j'ai tellement faim. Les fesses sont prêtes, me dit le chef. Je sais ce que cela signifie. D'abord la cravache… Ca fait mal mais c'est supportable. Juste un peu plus précis que la main. Il se sert du manche pour commencer gentiment à m'exciter. Ça fait du bien. Cela dure longtemps (mais jamais assez). L'intensité augmente avec le paddle. Mais là ça n'a rien à voir. La cravache fait plus mal que la main mais cela reste assez léger. Le paddle est lourd, rien à voir avec celui auquel j'étais habituée avec P. Là, il s'agit d'un vrai paddle, un paddle de chez paddle. Chaque coup s'abat avec une telle intensité qu'il me fait trembler de douleur. Et j'en ai mangé du paddle. Si la main était l'apéro et la cravache l'entrée, le paddle lui est le plat de résistance. Mais pas la petite salade César, hein, non, une vraie bonne choucroute… On change vraiment de catégorie, d'ailleurs, j'ai omis de signaler qu'on a aussi changé de position, pour le paddle, quatre pattes oblige. Après chaque série, le chef vient me faire un câlin, me réconforter et me dire que j'ai été courageuse. Je ne suis donc pas étonnée qu'il le fasse à nouveau. Mais là, quelque chose me "dérange", le câlin perdure, ce qui annonce un truc assez inquiétant. Mais prise dans MA fessée, j'avais complètement oublié la cane. Je ne comprends donc pas vraiment pourquoi il me serre fort dans ses bras, me couvre de baisers et me dit que je vais devoir être très courageuse. Ne l'ai-je donc pas été jusqu'à présent ??? Et là, le flash, p****, il ne va quand même pas le faire ? Pas maintenant ? Je suis déjà aux bord des larmes avec le paddle… Soudain, j'entends un sifflement qui brasse l'air juste à hauteur de mon oreille droite. Ça brûle le tympan. Là, au-delà du mal, c'est la peur qui s'installe. Jusque là, j'avais mal, même très mal, mais pas peur. Il la fait siffler dans l'air un nombre de fois incalculable. Je ne sais plus compter, je ne sais plus parler, je ne sais plus où je suis. Je ne peux que supplier mon chef. Lui dire que promis je serai sage, que j'ai déjà bien compris la leçon, que je ne ferai plus de bêtises. Je m'embrouille dans mes mots car pendant que je le supplie, le chef prend plaisir à continuer à faire siffler la cane… Alors, meurtrie par la peur, j'arrête mes supplications, je ne peux plus rien faire, je vais devoir subir Dame cane. Je m'accroche fort aux draps, les mains crispées, le corps tremblant… Il fait durer l'attente, me dit que je vais avoir très très mal, mais qu'il n'a pas le choix, que c'est pour mon bien, que je me sentirais mieux après. Incapable de parler, je ne contredis pas mon chef, mais ma tête a de gros gros doutes. Je la redoute tant. Elle m'effraie et cette peur m'excite terriblement. Il va arriver. Il va arriver le premier coup, c'est sûr, mais on ne sait pas quand. Le chef décide, il sait que j'ai peur. Je pense que cela l'excite… Il me répète de bien m'installer, que je sois bien confortablement posée… Que cela va faire très mal… Enfin, le premier coup tombe sur mes fesses. Cela fait tellement mal que je n'ai pas la force de crier. Je mords le pauvre oreiller qui n'a rien demandé à personne et mes mains serrent les draps de toute leur force. Je ne pleure pas. Rien ne sort. Cela fait pourtant si mal. Au bout du sixième coup, un petit sanglot sort de ma gorge. J'ai été très courageuse. Mon chef me le dit. Il sait que cela fait très très mal. Alors tout de suite après le sixième coup, il me prend dans ses bras et me réconforte. Et puis, après, il m'offre un plaisir. Un vrai. La "récompense" comme il dit. Mais quelle récompense !!! Un moment que je n'avais jamais vécu avec aucun de mes précédents partenaires (pas énormes non plus lol) qu'ils soient fesseur ou non. Un plaisir au-delà de l'imaginable. J'ai eu tellement mal que tout à coup, ce bien immense et intense vient tout contre-balancer. C'est le feu d'artifice dans ma tête, je ne pense plus à rien, j'en suis incapable. Puis il me dit de me rhabiller, c'est l'heure semble-t-il. Moi, dans ma tête, l'heure n'existe plus. Alors j'obéis. Je sais qu'il aime qu'on lui obéisse. Tout se passe à peu près bien, jusqu'au pantalon… un peu plus difficile à passer. Debout, il me prend dans ses bras et me fait un dernier câlin. Je le raccompagne à l'hôtel dans une dernière étreinte et lui souffle à l'oreille que j'ai déjà hâte au lendemain.

 

 

 

7h20. La douche. Comment dire…!!!! Ca brûle, ça brûle devant, ça brûle derrière. À la limite d'appeler les pompiers !!! J'avale un bon petit déj, vaque rapidement à mes occupations matinales obligatoires puis, sur le chemin du retour, vers 8h30, il est là, devant ma porte, il m'attend. Je suis tellement heureuse de le retrouver. J'accélère la marche et le rythme cardiaque en fait autant de son côté. Je sais ce qu'il m'attend. J'ai encore peur mais c'est différent. Là, j'ai peur que la fessée me fasse encore plus mal par-dessus la précédente. Mais son sourire et sa prestance me rassurent immédiatement. Je me jette dans ses bras. J'y suis si bien. Un sentiment nostalgique monte à mon cerveau, demain il s'en va. Mais, enlacée dans son étreinte, ce sentiment s'envole et je ne pense plus qu'à cette nouvelle journée avec mon chef. Elle sera merveilleuse, j'en suis sûre. J'ai aéré la chambre et retapé mon lit avant de partir, au cas où je n'aurais pas le temps de le faire entre-deux. J'ai bien fait. La veille au soir, je lui avais dit mon désir d'une fessée à la main un peu plus longue ; je n'ai pas été déçue. J'avais juste dit "plus longue" Chef, pas "plus forte"… Quelle raclée. Juste à la main. Cela annonçait la suite. La petite fessée à la main de la veille m'avait chatouillée. Celle d'aujourd'hui me fait très mal, je suis déjà à la limite de pleurer, ça ne va pas, il faut que je me reprenne. Mais ça fait si mal. Par-dessus celle d'hier, j'ai l'impression que ses claques sont dix fois plus puissantes. Je bouge dans tous les sens, je m'agite, j'ai mal. Je m'accroche aux draps, mais je ne pleure pas. La cravache prend une allure et une cadence beaucoup moins sympathiques qu'hier. Est-ce le Chef qui frappe plus fort (il connait maintenant ma résistance) ou simplement le contrecoup de la veille ? Je ne sais pas. Ce que je sais, c'est que cette douleur est indescriptible. Je voudrais que cela s'arrête tellement j'ai mal, mais impossible de dire stop. C'est trop bon. J'ai une fois de plus été courageuse. Il m'offre un petit plaisir qu'il arrête juste avant la fin de la mèche. Il aime cela, je le sais. Il aime qu'on le supplie de faire mal pour faire du bien. C'est ce que je fais, je n'ai pas d'autre choix, mon corps bouillonne. Alors, puisque c'est moi qui l'ai demandé, il prend à pleine main la lourde massue… euh pardon, le beau paddle (!!!) et le fait claquer dans son autre main. Très fort. Cela résonne. Dans la chambre et dans ma tête surtout. Une pluie de lourdes claques s'abat sur mes fesses déjà plus que meurtries. Il y a dix, vingt, cent, mille… Un nombre qui me parait si long. J'ai mal, une douleur à la limite du supportable. Mais plus j'ai mal, et plus je suis récompensée… Et j'ai crié, crié, comme je ne l'ai jamais fait… Au cours du long câlin bien mérité (!), il me susurre à nouveau des mots qui ne vaillent rien de très opportun pour mon pauvre postérieur à l'air… J'entends "courageuse", "forte", "méritée"… Je n'entends plus de phrases, juste des mots qui résonnent fort… Il desserre l'étreinte que je ne veux pas lâcher. Je le supplie de rester encore un peu contre moi, histoire de prendre encore un peu de courage. Je m'accroche à sa chemise, lui serre fort la main, m'obligeant à me rassoir sur mon douloureux séant. Il m'ordonne de reprendre ma position et j'obéis aussitôt. Pas question de le provoquer. Dame cane est désormais entre ses mains et brasse à nouveau l'air, comme hier. Plus longtemps… L'attente du premier coup en devient insupportable. Psychologiquement, je n'ai plus de Moi. Mon Sur-Moi essaie de donner un sens et mon Ça me dit "laisse tomber, arrête de réfléchir". J'ai choisi d'écouter mon Ça. Je ne réfléchis plus. J'ai trop mal. Et je sais la douleur qui va suivre. Courageusement je prends position, les mains cousues aux draps. L'annonce du Chef ne me fait même plus rien, mais je l'enregistre quand même : "Ce matin, ce ne sont plus six mais douze coups !" Ok ça va aller dit mon cerveau. Et le premier coup est toujours aussi cinglant. Dire qu'il y en a onze autres qui suivent derrière. Au dernier coup, un sanglot me serre la gorge. Le chef s'allonge immédiatement près de moi et me serre très très fort dans ses bras. Je pense qu'il est fier de moi. Il ne pensait pas aller aussi loin. Ça lui donne du plaisir. Il essaie de le cacher mais je le vois. Il m'en donne aussi. Je l'ai mérité. Une jouissance énorme. Beaucoup plus forte qu'hier. Je n'en peux plus, j'ai chaud, j'ai froid, je hurle, j'écarte, je serre, je ne sais plus. Mon corps est déconnecté de mon cerveau qui s'est fait la malle… Après, je suis si bien. Zen, calme, sereine. Il me serre à nouveau fort dans ses bras, de longues minutes, le temps que je reprenne mon souffle. Puis, il me dit de me rhabiller, nous allons au restaurant. Ça devient compliqué de m'assoir. Nous faisons la route en tram, moi en fauteuil. Arrivés au restaurant, je dois changer de chaise. Alors précautionneusement, je me lève du fauteuil et m'installe doucement sur la chaise. Dans un grand sourire, le Chef me dit : " Ça va ?", je réponds "Bien sûr !" avec le même sourire. Au sortir du restaurant, une ballade s'impose. L'occasion de parler de choses et d'autres, mais surtout d'évoquer le départ. Eh oui, plus que cette après-midi… Une après-midi qui promet d'être riche en émotions. A nouveau en position sur le lit, les coups pleuvent à nouveau, une petite pluie fine au début, puis elle se transforme progressivement en averse pour finir par un énorme coup de tonnerre. Une décharge électrique puissante qui traverse mon corps tout entier. Mon petit bateau met du temps à retrouver un équilibre, le chef me blottit à nouveau dans ses bras, il entend mon souffle court, me murmure des mots magiques, des petites phrases étoilées qui scintillent dans ma tête. On sait tous les deux qu'il est l'heure, que la parenthèse ne va pas tarder à se refermer. Il ne me brusque pas. Il me répète que ça va aller, qu'on se reverra bientôt, qu'il ne faut pas que je sois triste. Alors, je fais semblant de ne pas l'être… Un dernier petit tour au parc et je le raccompagne jusqu'à sa chambre d'hôtel. Il n'est pas d'accord. Il pense que ce sera plus dur pour moi. Mais le "Au revoir" du parc ne m'a pas suffi. J'ai besoin d'un moment à nous. Je ne pleure pas. Je suis forte. Je suis triste. Je ne suis pas forte. Ma tête pleure. Sur son lit, il m'étreint fort fort fort. Il me répète d'être forte, mais je ne le suis pas. Il me conduit vers l'ascenseur avec toute la délicatesse que la situation impose. Il me dit de ne pas l'accompagner à la gare demain car son train part tôt.

 

 

À 7h50, je le cherche sur le quai. J'espère que je n'arrive pas trop tard. Il m'appelle, je me retourne. A cheval sur le marchepied du train, il me fait des grands signes. Ouf, il est là… Je ne suis pas arrivée trop tard. Juste le temps d'une dernière étreinte. De longues minutes blottie dans ses bras pour la dernière fois. L'agent siffle, les portes se referment et j'entends siffler le train. Je ne pleure pas, je suis bien. Triste mais bien. Je sais qu'il reviendra bientôt. Il me l'a promis.

Voici un de ses premier récit

 

 

cette fois-ci, je vais faire un récit. Parce que j'ai envie de partager des émotions. Mais comment décrire ce qui ne se dit pas ? Comment raconter les sens en ébullition, la respiration saccadée, le cœur accéléré ? Des récits sur la fessée, il y en a des centaines ici, des milliers sur internet, le mien ne serait qu'une goutte de plus dans l'océan. Alors, je ne vais pas (ou peu) vous raconter ce qui n'appartient qu'à deux êtres réunis dans une même connivence. Je vais vous raconter l'Autre, je vais vous raconter le fesseur. Du moins, l'image que je me fais de lui…

Au commencement, vient l'amitié. Parcourir des centaines de kilomètres en étant prévenu à 5 heures du matin que mon fils est malade et que par conséquent, je devrais peut-être le garder. Et venir quand même : "T'inquiète, je serai content de vous voir tous les deux donc je viens quand même !" Les sms qui restent sans réponse car mon forfait n'est pas international. Les heures de train qui s'avalent à la petite cuillère mais que l'on boit quand même, lentement, comme elles viennent. Juste pour nous voir. L'excitation des retrouvailles. Un petit garçon et un monsieur de 50 ans et des poussières qui se connaissent très peu mais qui se reconnaissent. La joie dans le rire d'un petit bonhomme qui retrouve un re-père, au moins une présence masculine. Et puis, l'émotion partagée d'un homme et d'une jeune femme, des bras qui s'ouvrent, une tête qui se blottit. Plus rien ne compte que des respirations, des palpitations du bonheur dissimulées dans des manteaux sur le quai d'une gare…

Après, vient la confiance. La scène est toujours la même et pourtant toujours différente. La porte de l'appartement qui s'ouvre, celle de la chambre qui se ferme. Les masques qui tombent en même temps que la robe. La fessée appartient au fesseur. Elle se donne à lui et c'est lui qui la donne. Elle est belle à nu, mais elle s'en fout. Plus rien ne compte pour elle que le moment présent. Son corps si raide se détend instantanément, dès les premières claques qui s'abattent magistralement sur son séant. Plus rien ne compte que cette confiance aveugle qui aspire toute tension, tout problème, tout handicap. Plus rien ne compte que ces respirations, ces palpitations du bonheur étendues sur un lit…

Ensuite, vient le plaisir. Et là, il me semble quand même compliqué de le partager avec vous sans vous mettre une fesse (pardon, un pied ) dans le bain. Il faut avouer que la barre est haut placée. La fessée d'échauffement est en réalité à elle seule une fessée de compétition, ça annonce la couleur de la suite. Là, tu sais que tu as, au-dessus de tes fesses toutes innocentes, la main d'un vrai fesseur. Les claques sont lourdes et cadencées, le rythme soutenu et la durée interminablement délicieuse. L'influx nerveux est soumis à rude épreuve et manifestement, ce n'est que le début. Après cette longue et agréable préparation, le cuisinier choisit ses ingrédients, prépare son appareil avec délice ; l'auteur choisit ses plumes, prépare ses crayons avec un plaisir non-dissimulé. Il fait du bruit dans l'air, ce qui ne manque pas de faire son effet. S'en suivent deux jours intensément sublimes dont je prends plaisir à vous laisser imaginer chaque détail, chaque coup d'électricité, chaque plaisir éprouvé, chaque souffle coupé, chaque douleur exquise, et chaque récompense… Il me tient à cœur quand même de partager un seul de ces moments privilégiés de notre jardin secret. Si ce n'est la couleur de mon séant : rouge-blanc-bleu. Rouge avec la main, le ceinturon et le martinet. Blanche sur ma peau métissée, la centaine de lignes de Dame Cane… Et un léger bleu avec le paddle et le tape-tapis !!! Il me tient à cœur donc de vous parler du martinet. J'ai découvert cet instrument (cet engin de torture devrais-je dire) avec mon ancien fesseur. Ce dernier était noir, petit et mince, sans grande qualité… Je parle du martinet. Mon ancien fesseur m'en avait laissé une peur… bleue ! J'ai découvert jeudi qu'en réalité, c'était simplement un matériel de mauvaise qualité et surtout, une très mauvaise utilisation. Eh oui, la maitrise des instruments ça transforme une cacophonie en divine mélodie… Morale : Bien choisir le chef d'orchestre avant de commencer un concert . Car, lorsqu'il est bien administré, le martinet est en fait, plutôt agréable, disons pas si désagréable que cela. Bon, il va de soi que MTT tentait une réconciliation entre l'instrument et moi… Je pense donc qu'il y est allé avec beaucoup de précautions et une certaine douceur. Et ça a marché. Je ne dis pas qu'il a réussi à créer un lien d'amitié indestructible entre ces lanières de cuir et moi (il ne faut pas exagérer quand même !), mais disons une entente plutôt cordiale. Je n'en ai plus peur, merci TapeTapis !!! Plus rien ne comptait pour moi que ces deux jours de pluie magique qui s'abattait sur mes fesses. Plus rien ne comptait que ces respirations, ces palpitations du bonheur, détendues mais brulantes, rougies, sur ce qu'il reste du lit !

Et, au final, vient la résilience. Rien de bien excitant pour un final de récit de fessée, je l'admets. Et néanmoins, pourtant tellement important. Je parle ici de petite résilience évidemment. Il n'est pas question de traumatisme bien sûr. La petite résilience ici, c'est la capacité d'adaptation. Pour lui, c'est accepter le handicap et ses impossibilités techniques de positions… C'est le martinet qu'il apprécie tant et qu'il ne peut pas utiliser comme il le voudrait parce qu'il respecte ma peur, qu'il me respecte moi et que, par conséquent, il ne veut, en aucun cas, m'effrayer… Sa résilience, c'est surtout voir que sa récompense favorite me fait mal, et accepter de s'en priver afin de me faire accéder à mon plaisir avant le sien ! Sa résilience, c'est aussi respecter la situation familiale, renoncer à la chambre à coucher le mercredi après-midi pour y "préférer" les parcs ou la foire, lui qui supporte difficilement le bruit et la foule. Sa résilience, c'est de céder sur quelques uns de ses plaisirs personnels pour me permettre d'accéder aux miens, pour faire en sorte que plus rien ne compte pour moi que ces respirations, ces palpitations du souvenir de moments magiques, d'instants uniques, bien gravés dans ma tête, dissimulée sous une capuche, sur le quai des "au revoir!"…

 

Quelques photos encore de cette punitions

 

 

 

Fessée du mois de juin 2020

Il c est passé plusieurs séance mais voici la dernière fessée ,elle ma menti donc cette fois je me devait de la punir encore plus sévèrement que d habitude.

Je pense vas réfléchir a ne plus me mentir.

Dans ma vie de fesseur (plus de 35 ans j ai fessé des vilaines ,mais cette fois elle avait dépassé les limites donc voila déjà le CR de la crouille  ,puis les photos .

 

La chambre est plutôt bien rangée, le lit est retapé. Il ne le restera pas bien longtemps. Il relève ses manches ainsi que ma longue robe bleue. Je me sens violemment renversée et me voici au travers du lit. Sa main lourde s’abat sur mes fesses comme une pluie d’averse. La douleur est agréable, le plaisir palpable. Une symphonie qu’on n’avait pas jouée depuis longtemps. Je réapprends l’obéissance, je ré-savoure la douleur, je ré apprivoise la cadence. La journée est chaude, tout comme mes fesses rougies par les claques. Le rythme s’accélère, les claques moins espacées et plus lourdes encore. Mes fesses commencent à trembler. Je sers les dents en essayant de ne pas serrer les fesses. Je sais qu’il n’aime pas cela. Je lui ai désobéi hier. Je pensais naïvement qu’il ne s’en rendrait pas compte, que ce ne serait qu’un détail pour lui. Vu tout ce que j’avais déjà reçu la veille-il n’osera jamais me re fesser aussi fort, ce n’est pas possible. Ainsi, je m’installe confortablement, comme pour la sieste, pensant à une séance à l’accoutumée, dure, sévère, mais gérable. Toujours garder le contrôle. Mes muscles sont détendus, ma tête sereine, mes pensées réunies. Il a été sévère hier. Il faut dire que je trouvais qu’il s’était relâché ces derniers temps, je le lui avais dit. Visiblement, ça ne lui a pas trop plu. J’en étais ravie hier hihihi. La fessée fut sévère, mais juste, je l’avais cherché. Je suis certaine qu’aujourd’hui, il sera moins sévère. Il me l’a dit hier : « Demain, je fesserai moins fort, tu as bien pris aujourd’hui, je suis fier de toi ! ». Sauf qu’entre temps, j’ai désobéi. Allongée au milieu du lit, je suis déjà dans ma bulle. Je ne vois pas l’orage gonfler dans ses yeux. Je suis bien au pays de la fessée, continuant cette charmante promenade. Tout va bien. Lorsque soudain, le premier éclair surgit, tombant de nulle part et s’exerçant sur mes deux petites vallées innocentes. Je ne sais même pas ce que c’est, paddle, tape-tapis, mais ça cingle, ça fouette. Une larme monte dès la première et si puissante claque. Je ne m’y attendais pas. Il m’avait dit… Pis, je le trouvais… Je ne sais plus où je suis ni comment je m’appelle. Je n’ai même pas le temps de comprendre qu’une pluie monumentale tombe sur mon séant. Elle est si cinglante cette pluie diluvienne. Je voudrais crier stop mais j’en suis incapable. Non parce que j’ai trop mal mais parce que cette douleur d’une intensité jamais ressentie me transporte dans un autre univers encore. J’ai si mal que ça fait du bien, trop de bien. J’en veux encore, je ne veux pas que cela s’arrête, jamais. Pourtant, je le supplie d’arrêter. Ça fait trop mal, mais j’aime trop ça, je suis perdue. Alors, je m’abandonne totalement. Il n’y a plus que cela à faire. Et ça fait encore plus de bien, cette douleur dans l’abandon. Il voudrait que je décrive, mais c’est indescriptible. Je ne sais plus rien. Les coups s’abattent sur les fesses, dérivent sur le dos, sur les cuisses, les jambes, les pieds, entre les cuisses, la chatte, les seins, partout. C’est si violent, si fort, si bon. Ça dure longtemps et c’est pourtant si court. J’entends vaguement des mots, qui doivent ressembler à des ordres, je ne sais pas, j’entends mais je suis incapable de traduire dans mon cerveau. La fessée est de plus en plus intense, de plus en plus forte, je veux me débattre mais je ne peux pas. Je veux que ça dure et si je me débats, il arrêtera plus tôt et je ne veux pas. Hors de question qu’il arrête. Oui, ça fait terriblement mal mais oui j’en veux encore. Des petites larmes coulent sur mes joues. Des vraies larmes. J’ai mal. Un vrai mal. Surtout qu’il ne s’arrête jamais. Ça dure une éternité. Pourtant quand le dernier coup arrive, je suis tellement mal, j’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais. « Tu l’as bien méritée, je vais t’apprendre à me mentir ». « Ne recommence jamais ça, c’est compris ? » Machinalement, je réponds Non ! Mais qu’est-ce qu’il m’a pris. Un nouvel orage s’abat, encore plus fort. Je ne tiendrais pas. Ça, c’est le paddle, j’en suis sûre. Il sait que c’est ce qui me fait le plus mal. J’ai tellement mal, tellement. Quelques larmes suintent. 12, 18, 48 je ne saurais pas vous dire. À ce niveau-là, on ne compte pas. On lutte contre la douleur mais on veut aussi qu’elle ne s’arrête jamais. Puis, enfin, arrive la récompense, la délivrance. Il sait exactement où aller, comment y aller, il en joue. Il me fait supplier, supplier. À ce moment précis, il sait que je pourrais faire n’importe quoi. Il me demande de prendre sa queue. Je la tiens fort. Mais je ne sais pas faire. Il dit que je vais apprendre, il me dit des trucs, je ne comprends pas, il me redonne une claque là où déjà un gros bleu s’est formé, j’ai mal. Je dois m’appliquer, je réitère, ça ne va toujours pas alors ça reclaque. Il faut que je me concentre. Ça ne doit pas être trop mal car mes fesses reçoivent de moins en moins de claques. Alors je m’applique encore plus. Puis, tout à coup, il se libère. Alors, c’est à moi. Il m’emmène haut, si haut, que je peux toucher les nuages. Un orgasme comme je n’en avais jamais encore eu. Je me déconnecte complètement. Je ne sais même plus si je vis ou si je rêve. C’est une magie absolue. Un rêve éveillé. Je tremble. J’ai froid et chaud. Je n’ai plus mal. Je suis détendue. Je ne suis plus stressée, plus en colère, plus fatiguée, . Je suis vivante. Merci Chef pour ce moment inoubliable.

 

 Quelques photos encore de cette punition sévère

La peste ne me mentira plus ......